Le beau monde suite

<<L'affaire Bettencourt-Woerth est le résultat d'une péripétie improbable, née de révélations qui sont le produit d'une crise familiale sur laquelle se sont greffées les indiscrétions d'anciens employés. Il faut bien se faire servir. Mais c'est mettre soi-même le ver dans le fruit.

 

Aussi est-il de la plus haute importance de créer des relations de confiance et de reconnaissance réciproques avec un personnel qui se trouve confronté à une situation où la distance sociale infinie est vécue dans une intimité quasi familiale.

 

La haute société est un iceberg. Plus on en voit, plus il y en a de caché. L'affaire Bettencourt-Woerth a le mérite de donner à voir ce qui jamais n'aurait dû émerger.>>

Voir l'article complet tiré du Le Monde mercredi 14 juillet 2010.