Un petit apport qui pourrait être intéressant.

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Le sens de la vie, rien de bien extraordinaire, si ce n'est une évidence que j'ai eu bien du mal à raccorder, par miracle, et par Jean Maisondieu,  Viktor E. Frankl et Paul Watzlawick réunis. Qu'ils soient remerciés d'avoir écrit.

Le temps tel que je le décris est peut-être une vue originale? Peut-être cette originalité n'est due qu'à mon ignorance. Cher lecteur hypothétique, si tu reconnais là la pensée de quelque autre, sois gentil de me laisser un message.

Merci

Je suis amené à me repencher sur les étapes du deuil et sur le "cadeau caché" d'Alain Crespel, pour une intervention que je dois faire dans quelques semaines. J'ai retrouvé un vieux papier écrit en mai 2006. Je le remets telquel, en circulation, je le couperai en tranches plus tard, pour avoir des pages plus courtes.

Je viens de regarder un DVD, que m'a prêté mon ami Marc, « que sait-on vraiment la réalité ». C'est un peu confus, cela soulève un certain nombre de véritables questions, certaines affirmations me semblent un peu rapides. Ce DVD me semble mélanger deux genres : la science de la spiritualité, avec un peu de légèreté.
Regardez ce DVD comme un « Évangile » me paraît dangereux, aussi dangereux que n'importe quel délire mystique. Néanmoins ce DVD pose de réelles questions qui restent sans réponse.
Peut-être serait-il utile que je liste un peu ces questions qui pour moi présentent de l'intérêt. Il est bien évident que je renonce d'avance à explorer toutes les questions qui n'ont pas de réponse.
Je veux donc commencer par des questions sur le temps.

Commentaire de Jocelyne
C'est amusant de voir que l'on puisse se poser la question de savoir quel est la part de réalité contenue dans ce DVD « que sait-on vraiment de la réalité ! ? »

Où est l'erreur de raisonnement ?

en cours de rédaction

Probablement, on ne peut y échaper!

Voir le texte

 J'ai ajouté deux petites flèches en bas à droite, pour atteindre le bas de page quand je suis en haut et vice-versa.

Il m'arrive parfois, à moi aussi, d'en avoir assez de vivre dans ce monde dans lequel le puissant fait son beurre sur le faible. Il m'arrive d'être révolté.

Je l'ai dit souvent quand je travaillais.

Il y a 20 ans mon hiérarques n+2 m'a dit que j'étais trop rugueux pour faire une carrière à la Bull. Sans doute, mais j'ai toujours pu me regarder dans la glace le matin quand, autrefois, je me rasais.

Comme je n'ai plus de hiérarchie, comme je ne fais parti d'aucun parti politique, comme je n'ai pas de public, alors je m'offre un défouloir sur le net.

J'ai mis quelques pages "cachées" à une place acceptable,

• Résistance
• Focalisation

je viens d'en modifier une ou deux sur la réalité suite à des échanges avec Jean Claude.

accessible en cliquant ici

C'est ce que j'ai écrit aujourd'hui : une page sur les "stimulations sensorielles". Cette page est importante pour moi elle ouvre la brèche à mon investigation sur la nature systémique des besoins : la non satisfaction du besoin des stimuli infue sur notre carte du monde !

J'ai ajouté des modifications du côté de la communication en particulier dans la page des axiomes, des dessins. et des besoins, j'ai précisé une approche  qui mijote depuis quelques mois.

Ce sont les "nouveautés" du jour. Le déni que l'on retrouve à chaque perte, que ce soit la perte d'un fonctionnement habituel de sa voiture, de son cerveau, ou la perte de la vie, la perte d'un sujet d'attachement. Ces pertes sont l'autre face de l'impermanence. J'enfonce des portes ouvertes, mais au moins je ne me fais pas mal à l'épaule.

Sont contenues dans ce site. Bonne visite.

Les "besoins" se développent, un beau texte tiré de "L'élégance du herisson".

J'ai rendu visible les textes concernant les besoins existant déjà sur le site, et le les ai placé à leur place dans les thèmes par ordre alphabétiques.

Une idée sur la situation de communication dans les couple

Ce texte est brodé sur celui de Mihaly Csikszentmihalyi, J'y ai ajouté  quelque commentaires. Le mélange est si profond que je ne sais plus distinguer ce qui est de moi. Je mettrais des gullemets dès que j'aurai retrouvé son livre .

J'ai aussi rendu quelques textes déjà entrés dans "la machine" visible.

Tout ceci a été déclenché  par mes interactions avec toi, mon nouvel ami du bord de la Grande Bleue.

J'ai commencé à rentrer de la prose en stock sur l'écoute, mon "trip" actuel tourne autour des perceptions, de la pleine conscience, du "Mode Être", les niveaux d'abstraction de la sémantique générale, cela me semble bien converger.

J'ai aussi un petit peu sur le partage. Et je me suis lancé, j'ai pompé une vidéo sur Utube. C'est trivial comme une borne de coin de rue.

J'ai pas mal de texte disponible sur l'écoute. Je les mets en ligne. La structure est assez linéaire, je vais voir comment l'adapter.

Aujourd'hui il y a plus de 100 pages (petites) sur ce site. Il y a de quoi se perdre!

Cette page sur le Mode Dirigé/Automatique et le Mode Être, est ma lecture du livre consacré à la MBCT. chapitre 4.

J'avais le désir de repartir faire un petit tour du côté de la "réalité", thème cher à Paul Watzlawick. J'ai relu ce que j'avais déjà écrit, légèrement amendé, J'ai focalisé sur le mot "focalisation". 

Voilà une belle coutume, faite pour rassurer, pour faire face à la solitude existencielle.

cela me semble assez clair comme démarche. Cela ressemble à la manière de raisonner de Blaise Pascal ! ;-)

J'ai sauté le pas.  J'ai également mis en place les flux RSS. Si tu es intéressé par ma prose et mes  ... pensées ou découvertes de celles des autres, tu pourras ainsi te tenir au courrant de mes activités.

Hier première visite de  ZOULOU junior I

J'ai trouvé, en faisant une note sur le livre <<vivre>>,  une ource d'information sur le bonheur. Je l'exploite.

Les pages d'aujourd'hui, plus ou moins en cours de rédaction sont:

• Bonheur et objectifs individuels
• B-EP
• Bonheur et buts de la vie
• Bonheur (références),   page vide à remplir

J'ai aussi fait apparaître deux auteurs:

• Léandre Bouffard, 
• Robert A. Emmons.

Anecdote: ce site contient 84 pages aujourd'hui.

J'ai bidouillé aujourd'hui sur les modes de fonctionnement de l'esprit: le mode Être, le mode Dirigé que je divise en mode automatique et en mode réfléchi.

Il me semble par ailleurs que les besoins sont structurés différement selon l'âge et donc que les priorités sont différentes. C'est enfoncer une porte ouverte, mais pour l'instant dans ce que je lis cette nuance ne me semble pas toujours faite. En vieillissant par exemple les besoins sexuels diminuent, le besoin d'être dans le Mode Être augmente.

Piste à suivre

Aller à cet article. Cet article est pour l'instant solitaire, il n"est rataché à aucun autre. Son objectif est de montrer que sa conclusion est logique: nous avons le choix de la stratégie de satisfaction de nos besoins.

J'ai aussi rédigé mis en accès direct les dessins et photos.

J'ai trouvé un site cousin du mien : le Forum pour le bonheur. Il traite des "besoins". Un sujet que j'aime et qui est abordé autrement.

1. Schéma pour illustrer le triangle dramatique.

(P 92 ) L'esprit semble fonctionner en utilisant des schémas pré-établis: un schéma associé, pour moi à un comportement, déterminé fonctionne pendant une période. Survient un événement interne  ( besoin ) ou externe ( perception ), un nouveau schéma est activé qui restera opérationnel un certain temps, lui même cédera la place à un nouveau schéma ...

Il semble que lorsque nous fonctionnons dans le cadre d'un schéma déterminé, les autres schémas soient inactifs. Il semble qu'au niveau des schémas, il n'y ait pas de simultanéité. J'éprouve quant à moi l'impression qu'il existe deux canaux : celui des perceptions et celui du fonctionnement interne (des shémas).
(p 93) << Nous pouvons voir l'entraînement à la pleine conscience comme le fait d'enseigner à des personnes à devenir plus conscientes de leurs modes mentaux («changement de vitesse mentale») à tout moment, et à être capable de passer, si elles le choisissent, d'un mode mental inutile à un mode mental bien plus utile. Ce processus pourrait s'appeler apprendre à changer de vitesse mentale. En pratique, cette tâche revient souvent à reconnaître deux modes principaux de fonctionnement du mental et, à apprendre comment passer de l'un à l'autre. Traditionnellement, ces deux modes sont connus sous les noms de «faire» et «être».>>

(page 90) La rechute correspond à la réactivation automatique, sans volonté de la personne, de shémas mentaux négatifs -- pensées, sentiments, sensation corporelles -- qui s'auto-entretiennent et semblent former un sous-système quasi autonome.

Ce sous-système a un fonctionnement très profond, il modifie notre modèle du monde. Pour qu'une alternative opérationnelle puisse être offerte, il semble quelle doive se situer au même niveau ptofond de perception interne.

(p91)Principalement le fait de rester orienté vers le passé. Essayer de comprendre ce qui s'est passé, rester dans cet état d'esprit c'est creuser soit-même le trou dont on aura du mal à se sortir.

En cas de crise, de rechute, nous entretenons souvent une confusion alamante entre notre désir de résoudre la situation à travers les processus classiques ( "CHANGEMENT 1") et les processus conduisant à un changement de paradigme (" CHANGEMENT 2").

Fiche de lecture de "La thérapie cognitive, basée sur la pleine conscience, pour la dépression" Une nouvelle approche pour prévenir la rechute.

Zindel V. SEGAL, J.Mark G. Williams, John D. Teasdale

ISBN 2-804-5053-4

Edition  De Boeck Université 2006 1 ère édition

(P87) Décrire les facteurs psychologiques impliqués dans le risque de rechute dans la dépression et d'étudier quelles sont les carctéristiques de la Pleine Conscience qui aident les personnes concernée.

(p 87-88) Les thérapeutes les plus efficaces sont ceux qui combinent connaissance de la technique de la Pleine Conscience et pratique de celle-ci: cela crée un climat favorable à l'évolution positive du patient.

"L'idée de base est que les patients opèrent un changement radical dans leurs théories implicites ou modèles mentaux, qui structurent leur relation aux pensées et aux sentiments négatifs"

(p89) Les thérapies cognitives permettent de constriure et d'expliciter un modèle du monde du patient (P), partagé par le thérapeute (T). P & T pourront ainsi mieux se diriger pour résoudre les difficultés liées à ce modèle du monde, d'une manière souple, libre des contraintes d'une approche contraignante.

Attention: cela ne suffit pas, le diagnostic n'entraine pas automatiquement la mise en oeuvre des bonnes action correctrices, sinon il n'y aurait plus rien à faire que de connaître par coeur le DSN IV.

Le problème se pose de faire le lien du point de vue du vécu interne entre ce qui se passe au moment de la thérapie, et ce qui se passe au moment de la rechute. Il y a un savoir être qui est à transposer.

Suite : cliquer @ ICI

Je réorganisais la navigation, j'ai changé des niveaux de hiérarchisation et hop ! ce qui aurait dû ne plus dépendre d'une page en dépendait encore! j'ai supprimé une page et tout ce qui en dépendait avant est parti en fumée!

Quelle leçon sur l'impermanece des choses