L'impermanece liée aux modes de vie

Je me fait une certaine image, même vague, de ce que je voudrais que soit ma vie. J'appelle cela le bonheur. Un but, une limite, une direction asymptotique.

Le progrès vers ce but devient la mesure de la qualité de  ma vie : si je demeure trop loin à mon goût de l'objectif je serai amer ou résigné, cla m'est déjà arrivé:

 

  • Dans le debéut des années 70 j'avais un assez bon job dans une entreprise. Un mois d'août en rentrant de vacances, j'étais à l'avance saturé de retrouver mon job, pourtant intéressant. Je me posais la question pourquoi retourner travailler. J'étais marié, je venais d'avoir un troisième enfant, alors je suis retourné bosser...
  • Devant le chomage actuel, que cela me semble incroyable !

 

Si je me rapproche mieux de mon objectif de vie J'éprouve bonheur et satisfaction, tant que je ne me suis pas habitué.

 

Je crois (19/01/2008) que le bonheur ne peut être trouvé que très partiellement à travers l'atteinte d'objectifs, bienque celà soit possible. Je peux me sentir bien à travers une expérience de flux, mais je voudrais que cela dure. Cette seule approche me semble insuffisante pour être heureux le plus souvent possible.

 

Il me semble probable que le S.Gotama.